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    Quelque Chose D'Insignifiant Ceux qui aimaient Trop Les Mots " Au Revoir" ~ Circus Monster ~

     

    Vœux Souillés EndlesS ∞ CrazY ∞ NighT Péchés Sarcastiques

     Autre Chose D'Insignifiant Can You hear Me Breathe ? Cynisme

     

    [Autres histoires sans couverture adéquate]

     

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  • Note : Je viens d'inventer le personnage qui parle, pour pouvoir introduire le perso de Kitsune (vous verrez bien qui c'est)

    L'histoire se déroule dans un monde qui a évolué différemment du notre (pas de covid par exemple) mais il y a beaucoup de similitudes.

    /!\ Scènes Choquantes /!\

    Aujourd'hui, pour mes 15 ans, mon grand-père a décidé de m'amener à un cirque, un cirque particulier parait-il . J'ai essayé de lui expliquer que j'étais trop grande et que ça allait me saouler, et je voulais profiter d'avoir ENFIN 15 ans pour m'inscrire sur le site de la fondation SCP, et ENFIN pouvoir écrire mes propres rapports et contribuer à ces sortes de creepypastas que j'aime tant. Mais non, mon grand-père a préféré m'emmener au Cirque.

    C'est pas que je l'aime pas, Grand-Père, mais c'est que je l'ai toujours trouvé un peu...enfin, bizarre. Quand je vais chez lui, je suis tout le temps mal à l'aise, même si quand j'étais petite j'était juste terrifiée. En fait, ce qui me fait me sentir mal, ce n'est pas le fait qu'il n'y a presque pas de réseau ou l'odeur de vieux, mais plutôt les dizaines d'animaux empaillés exposés un peu partout qui semblent me suivre du regard dès que je suis dans cette maison. D'habitude j'aime les trucs glauques et bizarres, mais là c'est...ça me rends mal à l'aise, car ces animaux ont déjà vécut, j'avais l'impression de me retrouver dans un cimetière d'animaux.

    "Tu vas voir Julie, tu vas adorer ce cirque, toi qui aime les choses bizarres !"

    Fit Grand-Père, je soupire, bien qu'intérieurement intriguée. Oui, j'aime les choses bizarres, mais y a pas de quoi en faire un plat. Les rapports SCPs me conviennent très bien. Le trajet en voiture se termine enfin, j'ai légèrement mal au cœur, fichu mal des transports. Je soupire : le cirque se trouve derrière une forêt qu'on doit traverser à pied SUPER. En tant que feignasse professionnelle, je n'aime pas marcher. Rester assise devant mon ordinateur me va très bien, mais on ne peut pas tout avoir dans la vie. Je suis donc mon grand-père qui lui n'a pas l'air d'être dérangé par la marche, malgré son âge avancé (76 ans quand même !) , mais après tout il continue de marcher chaque jour, donc ça doit être une habitude. Je soupire encore.

    Après avoir marché pendant une dizaine de minutes, j'entends enfin des rires et la musique caractéristiques du cirque. Bon, au moins on ne s'est pas perdu, c'est un bon point ! J'essaye d'être optimiste, mais pas mal de détails m'inquiète. Dans ce pays là, y a pas beaucoup d'interdits. Ces cirques pouvaient très bien maltraiter leurs animaux, personne en aurait rien à foutre.

    Je me stoppe net : et si les "trucs bizarres" c'était des animaux blessés et maltraités ? Oh merde ! Le pire c'est que Grand Père est vraiment dépourvu d'empathie envers les animaux, ayant été élevé dans une famille qui les considérait comme des meubles. Il n'a aussi jamais aimé grand-mère, car c'était un mariage arrangé. Je ne l'ai jamais connue, elle est morte quand maman - sa fille - avait 2 ans. Elle a été élevée par Grand-Père, elle aussi. En tout cas, grand-père est assez bizarre pour penser que voir des animaux se faire battre, ça me plairait. Mais non, pas du tout !

    Je reprends ma marche. Pas question de décevoir Grand-Père, sinon ma mère serait dans une colère noire. Résolue à voir des horreurs qui me traumatiseraient certainement pendant des mois, j'arrive derrière Grand-Père dans ce fameux Cirque, tête baissée. Puis je rassemble enfin mon courage pour lever la tête, avec un sourire forcé, vers l'entrée du cirque. Et ce que vois écrit sur la pancarte me glace le sang - c'est certainement pire que ce que j'imaginais. Je manque de vomir.

    Sur la pancarte, juste là, banalement, il y est écrit "Freak Show" . Putain...

    Je savais que malheureusement, ce genres de choses étaient encore autorisées, bien que cela semble absurde. C'est immoral, totalement même. C'est abject, abominable et plus encore...je n'ai même pas les mots pour décrire cette horreur alors que je n'ai encore rien vu de l'intérieur. 

    Une fois entrée, je réprime des tremblement, horrifiée par ce que mes yeux me montrent. Il y a des cages, et des personnes qui regardent à l'intérieur des cages. Je vois des petites filles qui se moquent d'un homme aux mains palmées, des petits garçons qui se moquent d'une femme avec un bec-de-lièvre. Il a aussi des adultes, qui eux aussi rient en e moquant des personnes dans les cages, qui semblent tristes, voir abattues, ou parfois complètement folles. Un group d'homme regarde une cage ou se trouve un "enfant sauvage" un garçon d'une dizaine d'années aux yeux fous, qui semble être battu. Un homme en costume le montre avec une canne. 

    Je manque de vomir, submergée par le dégout que m'inspirent, non pas les personnes présentes dans les cages, mais les gens qui les utilisent comme des bêtes de foire, alors qu'il s'agit d'êtres humains comme nous. Cette vison de cauchemar ne fait qu'empirer quand je vois que mon Grand-Père regarde les monstres d'un air curieux ou dégouté. Il me mène ensuite vers un endroit spécifique du cirque. étrangement, Il se fait saluer par des gens du personnels, puis arrive devant un chapiteau (le reste du cirque est en plein air...) qui est gardé par un vieil. Grand-Père dit :

    "Bonjour, Jean. Voici ma petite fille Julie. J'aimerai lui montrer le Renard Chanteur, tu veux bien, mon vieil ami ?

    - Bien sûr ! Que ferions-nous sans nos habitués ? Entre donc, tu payeras plus tard, et je te ferai un prix d'ami comme d'habitude."

    Quoi ?! Grand-Père habitué ? Non, ça ne peut pas être possible ! C'est un cauchemar ! Mais quand Grand-Père me prends par la main, comme une petite fille, pour rentrer dans le chapiteau la réalité de cette situation d'une horreur sans égal me rattrape, ça me fait encore plus mal que si 1000 aiguilles me transperçaient le corps. Mon esprit n'arrive même pas à comprendre toute l'horreur qui lui est montré, de façon si banale que c'en est plus terrifiant encore.

    On s'arrêtes devant une cage dans laquelle se trouve une fille, à peine plus âgée que moi. Elle a des bras poilus, ça doit être une malformation, un dysfonctionnement génétique. Ses poils sont d'un roux grisâtre, d'où le "renard" . Ses cheveux sont de la même couleur, et n'ont pas été coupés depuis des années. C'est aussi le cas de ses ongles, qui ressemblent à des griffes e mauvais état. Elle semble souffrir, et le reste de son corps est couvert de bandages. Son visage est en partie dissimulé par un masque de renard plus brun que roux, en mauvais état et véritablement cauchemardesque. Mais, derrière ce masque, j'aperçoit un œil gris et à l'endroit de l'œil gauche, un trou béant, comme si on lui avait crevé l'œil. Un homme près d'elle, à l'air fier, la présente :

    "Bonjour visiteurs ! Voici le Renard Chantant, notre 13ème monstre, aussi surnommée Kitsune. Elle est incroyablement hideuse n'est-ce pas ? C'est notre monstre le plus précieux ! Venez l'entendre utiliser sa belle voix !"

    Il utilise son bâton pour la frapper, elle sursaute. On aurait dit qu'elle était morte, tellement elle était abîmée et son regard, vide. L'homme fait :

    "Chante ! Aller, n'importe quoi, imbécile !"

    "Kitsune" s'exécute. Ce qu'elle chant me fais pleurer toutes les larmes de mon corps, intérieurement tout du moins. Moi j'étais morte de l'extérieur avec ce qui se passait devant mes yeux. Sa voix est magnifique, et exprime une telle détresse que je suis tentée de forcer le cadenas et de menacer l'homme pour la faire sortir.

    "Je veux juste mourir, seulement mourir, quelqu'un pourrais t-il m'aider à en finir ?"

    Chante-elle, entre deux phrases sans aucun sens. L'homme semble s'en foutre royalement, fier d'avoir un "monstre chanteur" .

    Kitsune continue de chanter, les paroles de la chanson étant incompréhensibles ou sans aucun sens, comme si elle avait perdu la tête. Je finis par lâcher une larme, après des efforts colossaux pour retenir l'avalanche d'émotions dans mon esprit.

    "Quelqu'un souhaite-t-il que je reste vivante ? Mon corps n'est-il qu'un simple objet d'épouvante ?"

    J'entends cette phrase, bien plus sensée que tout ce qu'il se trouve ici, entre deux phrases distordues et décousues. Je fixe Kitsune, en pleurs. Elle semble vouloir me faire passer ce message que j'ai déjà compris...

    "C'est si douloureux, et cela n'aura jamais de fin..."

    Je sais. Je suis désolée. J'aimerai te dire que je compatis. Mais je ne suis pas capable de comprendre ta souffrance. Ce serait égoïste de prétendre le contraire.

    "Mais nous continuons, dans ce cirque qui nous est dédié, souffrant pour l'éternité !"

    Pardon. Je ne peux rien faire. Je ne peux pas te sortir de là. Je ne suis qu'une adolescente insignifiante.

    "Mais cet enfer nous n'y échapperons pas, pour nous cette vie est le seul choix !"

    J'aimerai t'aider. Mais je ne peux pas. Mais sache que je ne t'oublierai jamais. Et je me rappellerai toujours de toi en tant qu'être humain en détresse.

    "Pourquoi-donc me regardez-vous comme ça ? Cette souffrance vous ne la comprenez pas ?"

    Elle s'arrêtes d'un coup. L'homme, qui discutait avec Grand-Père sans écouter pendant que je contemplais le "spectacle", impuissante, se retourne, la frappe avec son bâton, puis lui hurle :

    "Pourquoi tu t'arrêtes, le monstre ? Continue immédiatement !"

    La seule réponse de Kitsune fut un hurlement déchirant, accompagné d'un :

    "TUEZ-MOI, JE VEUX MOURRIR !!!"

    Avant de s'écrouler au sol. Lhomme nous fait partir, en s'excusant du "dysfonctionnement" et disant qu'il va la réveiller. Grand-Père me fait sortir du cirque, l'air heureux de m'avoir montré ça. 

    Mais moi je sais.

    Je sais qui est le monstre dans cette histoire.

    Ce ne sont pas les gens derrière les barreaux.

    Ce ne sont pas ceux qui rient sans comprendre leur détresse, qui pensent que c'est normal.

    C'est ceux qui organisent ces spectacles.

    Ou ceux qui, comme moi, voient l'horreur mais n'en font rien.

    Pardon Kitsune.

    Pardon tout le monde.

    Je me rappellerai toujours de vous.

    J'espère que vous pourrez connaitre le repos.


     Nombre de mots : 1659

    Inspiration -> Dark Wood Circus french cover by Poucet. Certaines phrases viennent de la chanson.

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  • Petit poème qui m'est venu en tête comme ça, ne reflétant pas du tout du vécut ou mon état d'esprit (chuis jamais tombée amoureuse ùdrrr)


     

    Me fixant derrière le grillage,
    Transgressant métaphoriquement la barrière nous séparant,
    Tu me fixe, ce qui m'effraie mais en même temps me soulage.
    Et évidemment, je suis un peu à cran.

    ça me rappelle constamment ce que je ressent.
    La douleur lorsque tu me frappe,
    Mais à ça s'oppose ton côté si souriant,
    Car tantôt tu me fais mal, tantôt tu m'aide.

    Je ne sais même pas quelle est ta vraie facette,
    Mais si il te plait stoppe ton double jeu,
    Je suis sûre que c'est pas dans ma tête,
    à cause de toi mon esprit s'est scindé en deux.

    J'ai probablement peur de ce discourt banal,
    Mais qui d'un côté est assez inquiétant,
    Es-tu le bien ou le mal ?
    Mais si c'est les deux il n'y a pas d'équivalent.

    Je ne sais pas,
    Même si je sais que je te hais,
    Je ne comprends pas,
    Parce que je sais que je t'aime aussi.

    Qu'est-ce que j'aime ?
    Qu'est-ce que je hais ?
    Est-il possible d'haïr ce que l'on aime ?
    J'en suis malade, est pour ceci je décide que je te hais.

    Mais mon cœur n'est pas d'accord,
    Il te témoigne un amour que je hais.
    Sur ce coup là, il frappe fort,
    De toute façon, c'est peine perdue car je te hais.

    J'en ait marre de ne rien comprendre,
    D'être si débile que j'ai moi aussi deux faces,
    Puis-je haïr autant qu'aimer ? Aide-moi à comprendre.
    Si toi aussi tu haïs autant que tu aimes,

    Alors aide-moi à comprendre ça.


     

    Je suis pas sûre que ça aie beaucoup de sens...*soupire*

    Ouais, j'écris des trucs bizarres des fois.

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  • Ce texte est raconté par deux personnes : une fille (en rouge) et un garçon (en bleu), ils sont en vert quand il sont en cœur.

    Ce matin en entrant dans le bus,
    J'ai songé à quelque chose d'incroyable pour moi,
    Que ma vie serait une poupée russe,
    Et que sous celle que je vis actuellement, une où j'ai le choix.

    Aujourd'hui j'ai encore parlé à mon reflet,
    Je lui ai dit que je regrettait de penser à être libre,
    Il m'a répondu qu'il avait lui-même des regrets,
    de demander aux autres "Qu'est-ce qu'être libre ?"

    Dit-nous pourquoi nous fais-tu du mal ?
    Alors qu'on est les victimes de cette histoire...
    Ceux qui n'ont plus de libre arbitre ont aussi un idéal !
    Même si on souffre et qu'on n'arrive plus à y croire !

    On va jusqu’à remettre en question notre existence,
    Pour pouvoir satisfaire celui qui décide de notre avenir !
    On se fait du mal pour ne pas épuiser sa patience,
    Nous qui sommes forcés à sourire !

    Quand on m'a dit que je n'étais qu'un pantin,
    Je ne pouvais pas répondre,
    Je pense que pourtant, j'aurai voulu, mais encore demain...
    Je n'aurait pas de droits, et ne pourrais répondre.

    Sans libre arbitre, je suis condamnée à rester,
    à attendre que le temps passe, dans le désespoir,
    sans rien pouvoir faire pour le changer !
    Nous avons la possibilité de "pouvoir" mais pas de "vouloir"

    Dis-nous, qu'as-tu de plus que nous,
    Pour "pouvoir" autant que "vouloir" ?
    Qui a décidé qui aura rien et qui aura tout ?
    Nous sommes condamnés à mourir dans le noir !

    Il faut arrêter de fermer les yeux sur tout,
    cet étrange concept que vous nommez "liberté"
    est bien étrange et attrayant pour nous !
    Mais cette envie va finir par nous tuer !

    Ce soir, ceux qui n'ont plus de libre arbitre vont commencer à vraiment vivre !
    Ce soir, les oppresseurs serons oppressés et les oppressés oppresserons !
    à vous de subir ce que vous nous forcez à vivre !
    Pour la première fois, nous ressentirons la chaleur !

    By mwa~            

    J'ai écrit ça entre les cours au fait.

    Principale inspiration : World Domination - How To [Neru Feat. Kagamine Rin & Len]

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  • Je suis née aux côtés d'un chiot.

    Il n'avais beau pas être le plus intelligent,

    "Mais qu'est-ce qu'il est prometteur et beau !"

    S'exclamaient-ils tous en le voyant, tout en souriant.

    à présent, ce chiot est un vrai trésor. Quelqu'un de "Parfait"

    Tout le monde le soutient, alors que personne ne m'encourage.

    Qu'il ait des bonnes notes ? Mais pour lui, des excellentes c'est déjà fait.

    Mais personne ne porte attention à celle qui a grandi avec lui, donc je veux qu'il dégage.

     

    Qu'il dégage avant qu'on me compare encore à lui,

    Qu'il dégage avant que d'autres personnes ne l'aiment,

    Qu'il dégage avant que ne parte la pluie,

    Qu'il dégage avant que je finisse ce poème.

     

    Mais en réalité un poème n'est jamais finit.

    Il. S'arrête. Juste.


     

    Ce petit poème est du point de vue de Rin dans Quelque Chose d'insignifiant (lire ici -> www ) Je l'ai écrit alors que je me faisait chier entre deux exos de maths. Je vais très bien, ne vous inquiétez pas, même si mes poèmes sont assez tristes^^

    Principale Inspiration : "Sors De Ma Tête" (Doki Doki Literature Club)

    J'espère que vous avez aimés^^

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